«Femmes, bâtisseuses du monde ». C’est ce thème, on ne peut plus d’actualité et évocateur, qui a nourri les échanges, dans le cadre des assises de la première édition de la convention des femmes de l’église évangélique « Mission de la parole du réveil » tenues à Cotonou, au Bénin, les 09, 10, 11 et 12 mai 2024, dans l’Auditorium RWM situé à Akpakpa Agongbomey. Venues de tous les départements du Bénin, les participantes à ce rendez-vous spirituel sont notamment des femmes servantes de Dieu de ladite confession religieuse. Elles avaient à leur côté, pour leur édification spirituelle, les hommes de Dieu venus du Bénin et d’ailleurs. Les riches enseignements issus des communications et échanges à la lumière des saintes écritures ont permis de ressourcer ces femmes afin de les recadrer dans leurs missions en tant que servantes de Dieu dans le monde. Il s’agit principalement des rôles prépondérants et privilégiés attendus de la femme chrétienne, sel et lumière du monde tant en famille, au foyer, à l’église, au lieu de travail que dans la société. Une mauvaise compréhension de ces rôles, sont, dans une large mesure, par exemple, à l’origine des nombreux conflits conjugaux qui divisent les foyers de nos jours, et conduisent aux divorces, ont rappelé certains communicants.
Il faut souligner que les femmes participantes ont également eu droit à une rencontre entre mariées et célibataires. Un moment capital pour exhorter ces personnes sur les comportement à adopter dans la société afin d’être des femmes bâtisseuses, selon le dessein de Dieu. Enfin, il convient de mentionner que cette première convention, a connu la participation des servantes émérites, Michelle Sana-Chukwu Eni, Josephine UKAOMA OKORONKWO, Dr Olanma OJUKWU, Pasteure Nadine NGBANDA, Pasteure Mirabelle DREID, et de la sœur Cloy Emmanuel AKPABIO, venues de divers horizons pour nourrir les âmes de leurs pairs au travers des prédications inspirantes et des chants d’adoration très appréciés.
En attendant que ces riches enseignements reçus lors de cette convention ne commencent à porter leurs fruits, les regards sont d’ores et déjà tournés vers la deuxième édition.
Méchack AHOUANDJA